Éd. Albin Michel, 2013
GRAND PRIX DU ROMAN de la Société des Gens de Lettres
PRIX ALBERT BICHOT
PRIX CAFÉ DU SALON SPIRIT’ 2013
PRIX DU ROMAN DE LA GOURMANDISE
Olivier Bleys trousse ici une fable odorante vantant les vertus de la dégustation et de la réconciliation, un conte où une nostalgie douce-amère se marie à la comédie.
Le Monde des Livres
À l’heure du règne des capsules et des breuvages lyophilisés, Olivier Bleys nous gratifie, avec le Maître de café, d’une tonique fresque familiale, plus acerbe qu’elle n’en a l’air, prétexte à nous en apprendre beaucoup sur l’art du petit noir et de la torréfaction.
L’Express
Le maître de café, nouvelle prouesse d’Olivier Bleys, est un road-trip familial et burlesque. Avec ce beau livre, le discret Olivier Bleys confirme qu’il est l’un des tout meilleurs romanciers de sa génération.
Livres-Hebdo
Lire ce roman est une aventure à part entière. Chose rare, la lecture se pratique les sens en éveil et on en vient à désirer impérieusement une tasse de ce breuvage magique.
Page des libraires
ome, palais du Quirinal, été 1954.
L’un des rituels les mieux établis du Quirinal est le caffè macchiato que le président de la République italienne Luigi Einaudi savoure, chaque lundi matin, avant d’entamer sa semaine de travail. Pourtant, dès la première gorgée qu’il boit, ce lundi 5 juillet, ses lèvres se retroussent de dégoût : « c’est quoi, ce machin ? »
On envoie chercher Cosmo Pietrangeli, 71 ans, maître torréfacteur originaire de Bologne, en charge depuis des années de la confection du café présidentiel et qui, pas une fois, jusqu’ici, n’avait failli à sa réputation de préparer le meilleur. Mais dans le réduit sans fenêtre attribué au maître de café, au bout d’un couloir peu fréquenté du palais, non loin de la salle du Zodiaque : personne…
Une tasse de café sauve Massimo Pietrangeli, maître torréfacteur, d’un grave infarctus. Il annonce alors à sa famille son dernier caprice : entreprendre un voyage au Costa Rica, là où, sur les pentes d’un volcan, pousse le nectar qu’il a bu toute sa vie.
Le long cortège familial s’ébranle, guidé par Massimo qui, chaque soir, regagne le cercueil dans lequel il dort… L’étrange équipage progresse lentement. Après Rome, Bologne, Bordeaux, il traverse l’Océan puis la mer des Caraïbes, pour toucher enfin à l’Amérique centrale.
Dans ce roman qui commence sous les lambris du palais présidentiel italien et se termine sur les pentes d’un volcan en éruption, Olivier Bleys, l’auteur de Pastel et du Fantôme de la tour Eiffel, nous donne à lire un merveilleux conte philosophique dont le personnage principal n’est autre que le café.
sélection PRIX ORANGE
sélection PRIX ÉPICURE
sélection PRIX OUEST-FRANCE – ÉTONNANTS VOYAGEURS
sélection PRIX de la fondation CHARLES OULMONT